Ah ! ces péniches parisiennes, Qui chantent d'éternelles rengaines, Celles que pourtant l'on aime, Entendre murmurer aux oreilles du ciel, C'est un beau voyage qu'elles promettent, Une larme dans le destin que l'on jette, Comme un festin de fête dans la tête, Ah ! ces péniches qui fatiguent les soleils, Et nous laissent respirer l'odeur des merveilles, Le parfum enchanté de l'amour qui coule, Au fil de l'eau le long des flots, Ah ! ces beaux bateaux qui roulent, Pour nous dire combien le monde est beau.