Oui, je suis tel que deux, ne manque que la chair ; Absente pour duel... Or avoir pour emblême Que de négocier toujours avec soi-même En une guerre froide... C'est un discret calvaire.
Maintenant que j'ai vu quelques uns des rouages Il me faut laisser là cette chère inconscience Cette lune empochée, cette vieille licence Que j'ai chérie jadis, aux moments de nuages !
Mais la familière insinuée m'est tout ! Poison de volonté, ivresse de malheur ! La diablesse câline est pendue à mon cou...
Ses désirs sont obscurs, et je ne sais pas l'heure Où son sort est jeté... Ni que sert mon dégoût ! La battre, ou la comprendre ? C'est trop dur... Ou trop mou