Je somnolait doucement au pied d'un génevrier Lorsqu'un oiseau vînt troubler mes pensées. Fragile comme l'amour et libre comme le vent, Emmenant mes rêves dans le firmament.
Je suivis celui-ci à travers les nuages, Sautant sur la lune qui n'était que mirage, Confiant ma vie au seul gré du vent Et la douceur de mes nuits à l'astre éclatant.
Lorsque mes yeux se sont ouvert, L'oiseau ne mes rêves ne virevoltait plus dans les airs. Mais le bonheur qu'il m'avait apporté, Ne pourrait être égalé.
Cet oiseau, c'était toi mon amour, Et saches que je t'aimerai toujours.