Voyons mais qui es-tu ? Mais bien sûr sa cousine ! La bêtise est en toi comme chez bécassine, Niaiserie est cachée derrière tes grands yeux Et l’on peut en jouer cela est merveilleux.
Quand on te fait danser petite marionnette, Tu obéis toujours toi si jolie brunette Qui quémandes l’amour et un peu de douceur Tu ne vois rien venir si ce n’est la douleur.
Tu voudrais tant poser ton fardeau de mal être, Que le premier venu vient s’imposer en maître Et il te fait souffrir mais tu espères toujours Que l’amour l’atteindra et après lui tu cours.
Je suis que ton amie mais mon cœur pour toi saigne Car je te vois souffrir et ne suis point ta duègne Pour te dire « arrête » cet amour te détruit Regarde le soleil ne vis plus dans la nuit.