On a volé son cœur, on a brûlé son âme, Les ailes sont brûlées à trop frôler la flamme, Chrysalide fragile libérant papillon, Il était à l’abri dans son joli cocon.
Il était attiré par le feu tentateur, La couleur l’attirait comme une belle fleur, Mais la brise est venue et le froid avec elle, Le vent chaud soufflait plus il s’était fait la belle.
Pourtant il le portait de son souffle léger, Le faisant voleter et il le protégeait Des vents de toutes parts qui se voulaient tourmente Voulant que sa descente devienne une mort lente.
Papillon irréel voilà ce qu’il était, Car vous l’avez point vu vous l’avez ignoré. Il n’a fait que passer dans le temps et l’espace, Il était trop naïf il n’avait pas sa place.