Quand Morphée s'en vient c'est ta voix que j'entends La douceur de tes mots qui arrêtent le temps, Câlinée tendrement au son d'une berceuse Fredonnée souriant car tu me sais heureuse.
Lovée tout contre toi comme au temps de l'enfance Où aucun cauchemar venait me mettre en transe ; Tu me sens apaisée mon corps est détendu Mais n'ose le frôler bien que le sachant nu.
Tu voudrais deviner tous mes rêves secrets Mais tu sais bien qu'un jour je te les livrerai, Car de toute ma vie tu sais lire les pages Et même si parfois elles font que t'enrages.
Ta main sur mon épaule, ton souffle pour caresse J'aime ces doux moment d'osmose et de tendresse, Et quand j'ouvre les yeux sur l'astre palissant Ma tête se pose sur ton torse puissant.