Je voudrais oublier que passent les Démons Qui de leurs souffles chauds me brûlent les poumons. Ils aiment tout détruire, ils en deviennent infâmes, Surtout quand de leurs mains ils caressent les femmes.
Votre vie se détruit, il ne reste plus rien, Le mal a le pouvoir où est passé le bien. Votre monde n’est plus, c’est une île déserte, Votre cœur est blessé comme une plaie ouverte.
L’innocence a primé pendant un certain temps Mais à ouvrir les yeux vous voyez maintenant, Que le ciel est obscur où est passée votre âme ? Le vent l’a emporté pour en faire sa Dame.
Il n’a voulu laisser le Diable l’emporter, Lui qui sait être pur a voulu apporter Un souffle de beauté pour qu’à nouveau rayonne Un sourire divin avant qu’on la bâillonne.