Où chaque grain de sable s’esquisse à la lumière Où les palmes d’azur brillent sous flambeaux Se trouvent des rivages blancs dorés par la mer Des horizons qui n’en attendent que d’être éclot
Pour une dernière fois, j’aimerais jaillir dans l’oubli Et partir où les chagrins ne puissent que s’envoler Me fondre près des chaleurs du paradis Plus que l’ombre de tes yeux y soit illuminé
À perte de vue, j’embrasserai tes lèvres de soie Sous un soleil aux brises des merveilles Que l’éclat a reflété par ta voix Telle était l’extase d’un réveil