Ces mots-là sont à eux seuls musique; Et lorsqu'ils sont jetés sur la portée, Même s'ils sont ô combien basiques, Qui peut dire jusqu'où ils sont emportés ? Bondissant sur des colliers de notes, Ou bien glissant sur des chaînes de croches, Quand bien même je la pianote, C'est direct à ton cœur que la phrase s'accroche.
Je t'aime, je t'aime, je ne peux m'en défaire, Même si certains pensent que je rejoins l'enfer. L'enfer serait de te perdre à jamais Tout en sachant que toi aussi tu m'aimais.
Le bonheur porte encore aujourd'hui ton nom. Pas besoin de viser la nostalgie. Il est sur la route que nous prenons Car notre amour jaillit avec magie Et raisonnant fort à chaque carrefour Cet air là sonne toujours juste à ton approche Ignorant sens-interdits et demi-tours; C'est direct à ton cœur que la phrase s'accroche.
Je t'aime, je t'aime, je ne peux m'en défaire, Même si certains pensent que je rejoins l'enfer. L'enfer serait de te perdre à jamais Tout en sachant que toi aussi tu m'aimais.
Dans tes yeux là, douceur et lumière; Me ramènent sur Terre et à la vie; Tu reviens dans toutes mes prières; Tu es devenu source de mes envies; Raturant le passé pour retrouver leur place, Ces mots-là ne tolèrent aucun reproche Car avec élégance et très grande classe C'est direct à ton cœur que la phrase s'accroche.
Je t'aime, je t'aime, je ne peux m'en défaire, Même si certains pensent que je rejoins l'enfer. L'enfer serait de te perdre à jamais Tout en sachant que toi aussi tu m'aimais.