Certains volatiles de mon esprit Battent des ailes jusque dans ma tête Pour alors libérer des gazouillis Qui ont, il me semble, des airs de fête.
C’est alors que ces étranges moineaux, Sur leurs ailes de cristal et de perles, Me portent vers ce merveilleux château, Lequel, les mots de la bouche, il déferle.
Ces princes des cieux doucement me posent Et s’envolent vers le ciel étoilé De la nuit; tout comme cette psychose, Pour ensuite perdre vie à mes pieds.