Glisse lentement La main sur l'onde opaline les volcans sont souterrains Et les ondes assassines Voici venu la nuit des temps En talons aiguilles Vibrantes sur sa tige Fleur flamboyante Grande comme une rosace De cathédrale En pétales de pourpre S'évapore ainsi qu'un encensoir
Le paradis perdu d'Hamilton A la gueule ouverte D'un requin
Le pays des merveilles de Scaroll En son château tourna dans son Écrin, ne laissant que l'empreinte De ton corps... Ton corps Et l'odeur de mon parfum.