Tel le phénix renaissant de ses cendres L’ordre et le calme surgissent du chaos Frappé par l’éphémère souvenir du beau Glacé à l’extérieur par le froid de décembre. Dans un parc d’hivers recouvert par la neige Le silence soudain, devient assourdissant D’un regard amoureux, je décide et j’abrège Révolution manquée, souvenir déprimant Je repose à présent dans un vide infini Dans le calme soudain d’une paix retrouvée Si belle au cœur dormant, j’ai oublié la vie Pour un sommeil charmant largement mérité Une nuit de décembre sous un soleil brûlant Un sourire frémissant sur mes lèvres apaisées Je rêve enfin vraiment d’univers délirants De monde merveilleux sous mes paupières fermées…