Toutes ces larmes sous mes yeux Qui tombent et tombent à qui mieux-mieux Et puis qui roulent sur mes joues C’est Arlequin devenu fou. Ce Pierrot triste au fond de moi Qui pleure et pleure comme chaque fois Et qui me hante pour toujours… Gémissement profond et sourd Comme une plainte qui ne se tait, Le mal, c’est sur, est déjà fait… Et ces ruisseau de larmes humides Qui dans mon âmes creusent une ride Effacent encore mon maquillage Ces trace blanches sur mon visage. Adieu mon masque de figure pâle Au fond, c’est vrai, j’ai bien trop mal, Et puis ses larmes dans mes yeux Qui se reforment à qui mieux-mieux…