C’est quand fuse lumière en ce monde éphémère Que démons de passions s’enjouent, rient de fée mère. La beauté de ces arts, ces tableaux d’impressions Enchantent fiers auteurs, épris d’ors, de missions.
C’est chassé de bon ton, passé de créations. C’est faits, heures patientées sonnent récréation. L’enveloppe brillante de charmeurs talents Fortifie les penseurs s’en allant d’un pas lent.
Nos passants ébahis d’intérêt grandissant Procréèrent en copiant sans que resplendissant. Belle aura fugitive s’abandonne dévoilée Au cœur seul des aines d’intuition étoilée.
Nos faux bougres d’artistes en peine furent oubliés Sans génie, sans un don, sans rien de publiés; Car belle identité est la trace d’esprit leste Car au fil du temps, l’homme passe, l’œuvre reste.