Si la mer était encre et le ciel du papier, Je n’aurais pas assez pour t'écrire de la place Oh, combien je t'adore, je te rêve, je .. hélas ! Car en moi, déraisonne, le bruit sourd du drapier.
Le futur est la toile inconnue du présent Où les mots qui s’effacent se percutent en un vers Où l’envers du tableau n’est reflet de calvaire Où se tisse jolie trame de couleurs, c’est plaisant ! Où pigments de senteurs fusent en traits, sentiments Où griffure de la patte subit le châtiment Où de vie de penseurs coulent pinceaux bienfaisants Où parjure de beauté n’a d’effets, nudité !
Si la terre était voix et le feu son éclat Je n’aurais pas assez pour te dire de la grâce Oh, comment je dévore, je te crève, je … hélas ! Car en moi, carillonne, le son doux de ta voix !