J e me rappelle, je te revois... E n toi logeaient vivacité, R espect, rêve, générosité... E videmment, je n’pensais pas... M anifs, rugby, les cours « tordus », Y alta, Koblenz... te souviens-tu ?
J our de malheur teinté d’angoisse E ntre avec lui dans ce cercueil... R epose enfin et fais nous grâce E n pourrissant telle une feuille. M aint’nant : trop tôt pour t’en aller, Y a tous tes potes qu’en ont pleuré...
E corchés vifs nous le sommes tous. T erreur du temps « souilleuse » de cœur I nsupportable est ton odeur; E ncore ancrée, je te repousse... N e surtout pas t’imaginer. N aufragé dans ton coffre en bois : E mprisonné pour un « faux pas »...