De ma main s’ouvre les 5 doigts,sans quoi, Ils se referment à l’approche d’un sale coup, Vas-y, installe-toi ! Le tracé se confond avec celui du zénith Une minute dans la peau d’un Zéphire balayant comme Zénon. Ma main, maître de ces moments, Le mimétisme la met à terre, du mental dans un métacarpe. Travail à mon compte alors que je la dompte. Sa volupté m’incarcère, la volonté d’un incapable En fin de compte, Un quart d’heure pour se perdre dans ce carnet, Marrez-vous de son air carré avec un ongle incarné ! Je dois faire jouer ma main, seule face à ce dernier soupir. Si peu apeuré de ce surin, Sûr d’un signe de la part de la nuit. Je ne possède pas tout, à vrai dire je n’ai rien Sauf le rêve d’un jour meilleur bâti entre mes mains. Seules à soutenir quand les migraines frappent, Est-ce pour cette excuse que j’ai décidé d’en faire un parag Reine de ma feuille, m’en fout de fuir ma faim, M’enferme dans une forme sans fond, C’est ce qui me rend plus fort. Proche de ton visage, elles te rassurent, Froide quand tu les quittes, Imagine une ligne sans cassure...