Si parfois des hommes interrogent les étoiles, Bien d'autres, insouciants, traversent l'existence, Sans chercher en elles ni le sens ni l'essence. Tous finissent saisis par la mort en ses toiles.
Si les uns quadrillent de constellations Les cieux devenus une religion, D'autres à l'injustice d'ici-bas leur oppose Un cri auquel les astres rien ne proposent.
Mais si l'astre du jour soudain irradiant, Révèle à la place de riants paysages, On voit alors fleurir des amours de printemps.
Les lois de l'Univers sont celles du jeune âge. Ses pulpeuses promesses éveillent les envies, Ainsi l'homme et l'azur trouvent belle harmonie.