Des étoiles et de rêves Qui font nos nuits un peu féconde Et une lune, un peu ronde Qui se rappelle tes lêvres Que ses souvenirs sont ternes Sont-elles encore douces ? Sont-elles encore douces ? Sa mémoire est en berne
Elle ne peut plus te toucher Tu es tellement loin maintenant Vaguant, courant, volant Tu t’en es tellement éloigner Qu’il ne reste que des effluves De ton parfum préféré Qu’elle se noyait à respirer Il n’en reste même plus les effluves
Juste quelques notes éparses Qui s’enlisent dans ses larmes Ses gouttes qui lui servent d’armes Pour que sa peine trépasse Mais dans les voiles de l’oubli Tu ne saurais tomber Car elle t’aime comme on a jamais aimé Même depuis que tu es partie
Tu assièges de bonheur ses pensées Et tu la couvres de joie, Tu remplis ses émois Tu es celle qu’elle a aimé Qu’elle aime et qu’elle aimera Et qu’elle suivra Pas à Pas Jusqu’à trépas…