En peu de jours, à toi je me suis attachée Et de ton visage je ne retiens que tes yeux Sondant les miens, à toi je me suis dévoilée Désarmée face au bleu du ciel par eux volé. De tes mains il ne me reste que les frissons, Que ta douce étreinte a par milliers provoqués Au milieu des ses arbres, nous étions isolés Là, dans ces montagnes, belles et chères à mon cœur Longtemps elles ne me rappelèrent que ma douleur... Curieux, un brin moqueur, plumage couleur de miel, Dans ce monde virtuel où nous nous sommes connus Par tes mots faire chavirer mon cœur tu as su. Après la colère il me faut te pardonner De mes montagnes je suis désormais privée Allège mon cœur prêt de nouveau à aimer. Le 23/08/2013