J’écris ton nom. Laisse-moi prier pour toi. Je t’aime énormément mais tu sais, parfois, Il est des chemins qu’on ne conçoit pas. Le silence est souvent préférable à la croix.
Je crie ton nom. Je ne veux pas revenir. Je t’aime énormément mais tu sais, souffrir, C’est comme marcher alors qu’on veut s’enfuir. Je préfère la vie au marathon infernal du désir.
Je vois ton nom. Je ne sais pas comment Mais, ce que nous avons été, le sable et l’océan, N’a pas vraiment suffi à remplir le néant. Maintenant, je n’entends que le son du vent.
J’entends ta voix. Je refuse l’inquisition. Mon pardon, je te l’offre sans concession. Mon respect, je te le donne sans prétention. Le bonheur, je te le souhaite avec passion.
J’efface ton nom et ta voix. Je pars sans toi. Je t’aime énormément mais tu sais, parfois, Il est des chemins qu’on ne conçoit pas. Le silence est souvent préférable à la croix.
Pour N.C.C.
Ce poème est extrait de l'ouvrage "Sortons des chemins battus. Poésie de l'âme." Disponible au www.soulpoetrysite.com.