La pénombre m'attire dans sa douloureuse suite. Ce monde qui suit le jour, Dont l'obscurité me fait prendre la fuite, De cette nuit sans soleil et ce renouveau devenu sourd.
Dans ma fuite,je tombe. Avant d'appercevoir cette lueur, Dans cette terrifiante tombe, Lumière qui eu vite fait d'effrayer la peur.
Ce magnifique croissant, Qui n'a que pour couleur,ce blanc, Qui fait de lui un éclair éternel.
Celui qui nous guide Dans un univers,fait de vide. Jusqu'à l'aube,qui le rappelle.