Au fond de mon cœur, jaillit la tempête Elle ravage et saccage le tourbillon de nos oublis laissant aucune place A cette étrange sensation de ne plus exister.
Les larmes perles noires de tes yeux cherchent En vain la lumière qui jadis t’éblouissait
Rien n’est dit, tout est fait pesé, balancé, fouillé, jeté, emballé, torturé noué, pulvérisé, jugé ! Place au nouveau délire et que Tourne le ménage et que tourne la vie.
La douleur envahit mon esprit de ta colère, ton courroux Ce désarroi qui m’a placé bien bas Misère, misère tu es devenue mère
Je me relèverai, croies-moi et Crierai par-dessus les toits Que telle fut ta faute, tel fut ton orgueil à me transpercer, à me balayer à m’enfouir sous les décombres de la mort !