J’ai la plume si légère, quand dans mon cœur pour encrier, Je la plonge pour la couvrir, de toute ma sensibilité, Une larme nait de mon outil scripteur, Des chants d'oiseaux, des champs de blés dorés.
Je voudrais dans mes paysages, courir au vent, Chanter et tournoyer, m'enivrant de la mélodie de mes écrit Et titubant sous l'effet de leurs beautés.
Je me laisse envahir du doux plaisir, Que me procurent mes palabres choisies.
Et quand enfin viendra ton tour, d'enfiler le gant de velours Pour que ta prose me sois plus douce, Je trouverai les mots pour te mener, Bien au delà du ciel, et des étoiles, Et faire sourire ton joli cœur d'écrivain.