L'ivresse de la beauté embrase la vie Pour celui qui en détient le poison. L'ame ravagée dans la mortelle hérésie, Enflamme, à en crever, ses précieux poumons.
Amour sans sexe dans ses pensées perturbées, Enrubanné de cuir, de sang froid et d'or, Il bise sans cesse ce qu'il ne peut baiser, Et meurt, tapis dans le luxe.Quel triste sort!