C’est à l’Aude de cet époque féodale Ou ce côtoie poètes, philosophes, artiste Recherchant le métal fondamental Étudiant la science des alchimistes
Et du four émane la chaleur du cerbère Pour en transformer l’ or et le plomb Précieux mélange de l’essence de la terre Convoité par templier, religieux, franc maçon
Les guerres, ce perpétue en son nom Car l’or tire sa richesse de sa rareté Le précieux métal est devenu poison Et l’ homme reste dans son avidité
Contrairement au fer, l’ or et éternel Les homme convoite les trésors L’or offre les plaisirs les plus charnel Alors l’ homme tu et meure pour l’ or
L’alchimiste, brisera t’ il ce cycle infernal ! En fabriquant de l’or a partie de plomb La rareté ne sera plus la fleur du mal Et l’homme sera libéré de cette tentation
Les guerres de l’or n’auront plus lieux Car l’or sera aux yeux des hommes, égal fer Les hommes, cupide, tourneront alors vers dieux Ou iront vers une autre rareté, un autre enfer
Belle vision idéale, et utopique de l’existence Ou l’on ne convoite que ses besoins primaires Car au plus profond des consciences L’avarice, ronge l’esprit et dévore la chair
L’alchimiste le sais, et cela le remplis de peine Il convoite la connaissance, le savoir la science Les rois, les papes,l’ avidité coule dans leur veines L’ or affaiblit l' existence,en détruisant la conscience