On n’est que fasciné à plonger dans tes yeux ! Qu’y a-t-il à cent lieues de plus harmonieux, Car l’on ne peut quitter ton regard hypnotique, Tellement envoûtant, sans doute féérique.
Comment te résister, tu en fais des pantins, Ceux qui s’y sont brûlés en leurs feux si taquins ; Avec une telle arme et leur vert opaline, Ils sont tous à tes pieds affolante Céline.
J’ai posé leur photo en un coin de l’écran, Là j’écris et les vois, lisant en les guettant Chacun des mots pour eux qui remplissent ma page, Sachant qu’à ton retour je ne serai pas sage.
C’est comme si, tu sais, tu ne me quittais pas ; Tu es là, à jamais, rêvant à tes appâts Qu’hier tu m’as offerts, ton corps, ta voix, tes râles, Nous étions tous les deux, en orgies animales.