Un peu une parure à tes seins dénudés, Tes cheveux ondulés glissant sur tes épaules, Tu es comme une star, tes bras, branches de saules Se fondant en prière à m’être prisonniers.
Car tu te veux soumise aimant être à mes pieds ; Tu dis : "Tout t’appartient, mon cœur, mon corps, mon âme" Dis-le qu’à tous le temps tu es ainsi la femme Qui à moi s’est liée, à toujours, à jamais.
Quand j’ai vu ta photo, une espèce d’aura Illuminant tes yeux, verts, leur forme en amandes, Je t’ai voulue amante cédant à mes demandes ; Tu es belle tu sais, affolante Laura.