Vous ne comprenez rien, je suis d’un autre monde, Vous êtes des passants, des gouttes d’eau dans l’onde ! Étant en mes parcours comme des étrangers, J’écris à ma frontière : "Attention, dangers !"
Dangers à écouter vos petites querelles ! À vivre, vous et moi, en lignes parallèles, Jamais nous ne pourrons nous joindre à l’infini, Alors restez au loin, vous là-bas, moi ici.
Je n’aime vos coups bas ni vos hypocrisies, Vous laisse à vos manies et vos mesquineries, Les grognements, les cris, vos négativités Un Sage nous l’a dit "Vivez-en éloignés ! "
Les clowns savent grimer les traits de leur visage ; Alors je me fais clown pour ne garder l’image Que des rires d’enfants, si grands ces innocents Quand vous, les tout petits, vous n’êtes qu’indécents.
Et c’est encor le même aigri de jalousie Qui lance l’hallali ! Laissez moi, je vous prie, Disparaissez au loin, loin de mon horizon Et surtout tenez-vous bien loin de mon gazon.
Jeudi 28 Janvier 2016
Le même, agri, jaloux, radin et mesquin, qui recommence et déjà décrit il y a quelques mois en ce texte : "Mais mon ami je t’emmerde"