AngyCathe ou histoire d'hier
Viens, donne moi la main, toi l'ange, encore plus haut,
Bien sûr, on va voler, en ailes cavalcades,
Vois c'est l'immensité, un univers du beau,
Suis moi où tout est blanc, domaine où tu t'évades.
Encore, on n'y est pas, prends ma main, je t'emmène.
Fais moi monter Angy, caresses de tes doigts,
Confidence à la nuit, poème qui s'égrène,
C'est là l'oubli du monde et juste toi et moi.
Recoin de l'infini qui n'appartient qu'à nous,
Nul ne pourra atteindre l'extase en nos amours,
Lieu où on dit "je t'aime", un sage se fait fou,
Silence en notre étreinte et que naisse le jour.
Mais les anges ont un corps quand ils viennent sur terre.
Et je t'ai ressentie, tu étais là, tout prés,
J'ai caressé ton corps, parcouru ton mystère,
Tes cheveux fous au vent et que j'ai tant cherchés.
Je veux goûter ta peau et connaître ton ventre,
J'aime boire à tes seins, de ton lait me délecte,
Et à chercher ton antre on se sent, en toi j'entre,
Ange qui est volcan, et ta lèvre s'humecte.
Je te prends, je me donne et je parcours ta hanche,
En toi, je vais je viens, et ta chair est offrande,
Tu cries et je t'emplis, et quand ton corps s'épanche,
Tu veux qu'en cet extase en toi je me répande.
Viens, donne moi la main, toi l'ange, encore plus haut,
Bien sûr, on va voler, en ailes cavalcades,
Vois c'est l'immensité, un univers du beau,
Suis moi où tout est blanc, domaine où tu t'évades.
Encore, on n'y est pas, prends ma main, je t'emmène.
Fais moi monter Angy, caresses de tes doigts,
Confidence à la nuit, poème qui s'égrène,
C'est là l'oubli du monde et juste toi et moi.
Recoin de l'infini qui n'appartient qu'à nous,
Nul ne pourra atteindre l'extase en nos amours,
Lieu où on dit "je t'aime", un sage se fait fou,
Silence en notre étreinte et que naisse le jour.
Mais les anges ont un corps quand ils viennent sur terre.
Et je t'ai ressentie, tu étais là, tout prés,
J'ai caressé ton corps, parcouru ton mystère,
Tes cheveux fous au vent et que j'ai tant cherchés.
Je veux goûter ta peau et connaître ton ventre,
J'aime boire à tes seins, de ton lait me délecte,
Et à chercher ton antre on se sent, en toi j'entre,
Ange qui est volcan, et ta lèvre s'humecte.
Je te prends, je me donne et je parcours ta hanche,
En toi, je vais je viens, et ta chair est offrande,
Tu cries et je t'emplis, et quand ton corps s'épanche,
Tu veux qu'en cet extase en toi je me répande.