Indicible attirance au parcours de mes doigts, Impossible recours à implorer tes lois, Toi tu te laisses faire et ma main est errance, Elle vient s'enchâsser à ton sein abondance.
Comment m'en détacher ? Sans nulle volonté Je me laisse griser, moments de volupté ; Caresses d'infini, délectation d'extase, En instants d'abandon ou l'on fait table rase.
Quoi de plus affolant quand, aux effleurements, On ressent s'ériger les boutons turgescents, Se dressant insolents à défier l'espace, Dès qu'à peine enserrés ou que la bouche agace.
Ils sont chairs attisée qu'on taquine des dents, Langue les affolant, ils se font confidents, Le sein alors s'emplit comme une femme allaite, Et ton corps se complait et moi je te complète.