Sourires malicieux et finesse des traits, Brune, la peau tannée, craquante en ses attraits, Courbes à en damner les anges les plus sages, Sculptée par ses amours et milliers d'effeuillages.
Cheveux d'un blond platine, nés des dunes de sable, Des yeux peints en gris-vert, nuance incomparable, La blancheur de sa peau, plus diaphane qu'un lait, Et un corps longiligne, superbement moulé.
Elles entrent dans l'arène, on croirait deux princesses, Les regards s'y accrochent, emplis de maladresses; Qui peut s'en détacher, voleuses de lumière ! Indicible portrait, une démarche altière.
Et laquelle choisir ? Inutile dilemme, D'elles je suis très proche, entends dire "je t'aime". Comme dans la chanson, en gestes sensuels, L'une à l'autre s'enchaîne, Elle se mêle à Ailes.
Beauté insaisissable et perdue pour les mâles, Elfes qui nous affolent et vont voler nos râles. Regardez les, jolies, superbes amazones, Donnez moi le pinceau, je veux changer la donne.
