Explication nulle et puis plus de nouvelle, Tu vois, pour moi c'est bon, c'est la dernière fois ; Je n'aime ta chimère et d'ailleurs, la plus belle, Tu oses "tu me manques", étant dans d'autres bras.
Oublie donc que j'existe et je reprends ma route, Il me faut prendre l'air, être à nouveau fêtard, Je n'aime les questions et déteste le doute, Vis donc tes inconnus et ce fameux "pétard".
Je n'étais là que peu, un oiseau de passage, Tant d'autres m'attendaient, j'ai choisi ton parfum, Je ne l'humerai plus, je me refais volage, Et même j'oublierai le galbe de ton sein.
Un jour tu reliras, qui sait, ces quelques lignes, Alors tu inspiras un poète et le vent, Tu as trop grappillé les raisins d'autres vignes, Lors il est déjà loin, c'était le temps d'avant.