Dis moi que t'es jalouse, allez avoue le moi, Pour me faire parler, tu casses mon épaule, Bien sûr tu me souris, que je cède à ta loi, Mais je ne te dis rien, gardant le premier rôle.
Tu veux que j'obéisse, ah en cela tu crois ? Et je t'entends râler pour le nom de la belle, M'interpellant, furie, de ta plus "douce voix" : "Dis le moi s'il te plait, comment elle s'appelle".
"Alors tu m'as menti, disant que tu dormais ! T'es vraiment un salaud, moi qui te fais confiance !" Je rétorque bien sûr : "Te tromper ? Moi jamais ! Je dors à poings fermés comme en ma tendre enfance".
Bon là tu es partie mais tu vas revenir, Tu aimerais savoir quelle est ma forfaiture, Mais je ne dirai rien, quelque soit ton désir, Je ne parlerai pas, même sous la torture !
Par contre je pourrais, pour calmer ton soupçon, Car tu sais me dompter en jouant de tes armes, Si jamais tu voulais me prendre à l'hameçon, Il te suffit bien sûr d'user de tous tes charmes.