Quand je vais m'en aller, je ne veux que tu pleures, Je reviendrai, tu sais, pour revoir mes enfants, Alors ne t'en fais pas, je t'offrirai les heures Qui ne seront à eux, fougueux amis amants.
Notre complicité n'a pas eu sa pareille, On s'est tout raconté, nos histoires de coeur, Confidences d'amis et tant de nuits de veille Et on a échangé nos instants de bonheur.
Nos doigt entrecroisés dans les salles obscures, Nos temps d'intimité en mille voluptés, Notre proximité malgré mes aventures, Seront toujours tracés en nos éternités.
Tu vois je prends la plume et je nous fais bohèmes, "Légèreté de l'être", il nous faut être forts, "A Toi" j'ai tant empli de lignes de poèmes Qu'on restera unis quels que soient nos deux ports.