Tu m'as offert ton corps en splendide sculpture, Toi qui as la beauté d'une déesse antique Tu es là dénudée, envoûtante, impudique Et ça me va si bien qu'au fur et à mesure,
Tu m'aies donné de toi ce qui est ton secret ; Sabrina tu es belle à damner même un saint On s'est cherché longtemps, un peu comme à dessein, Mais on s'est retrouvé à sceller le décret.
Laisse-moi de mes doigts dessiner ton visage, Laisse-moi de mes mots te dévoiler peu sage, Laisse-moi de ma main les sculpter un a un Tes seins qui sont splendeurs et qui te font catin.
J'aime ainsi t'emporter à briser tes limites, Que tes fantasmes fous, je les fasse à mes rites ; Tu veux que je te guide et que l'on se damna, Toi qui m'as envoûté, diablesse Sabrina.
Tu veux que je t'emporte en multiples jouissances Dis le moi de ta voix, sois folle et renaissances ; Tu es née pour l'amour, en multiples ébats, Et je t'y conduirais en défaisant tes draps.