Mais que crois-tu vraiment, de toi je n’attends rien, Je n’ai aucune envie d’avoir le moindre lien, Vas-t-en mener ta vie et je mène la mienne, Mon ami je t’emmerde à la mode israélienne.
De l’air, l’oubli, du vent, je veux du positif, Tu ne sais que grogner, ton monde est dépressif, La négativité crée de mauvais présages, Il faut s’en éloigner, je l’ai appris des Sages.
Regarde-moi je ris, ne suis jamais sérieux, Je vis de dérision, ne serai jamais vieux, Ce qui n’arrange rien tu es aussi avare, Faut t’arracher tes sous et vois-tu je me marre.
Mon ami je t’emmerde en tes cris et tes bruits, Parce que j’ai jeté tous tes journaux gratuits Mais vois-tu en ta hargne où tu cherchais la faille, Tu as quitté ma vie comme un fétu de paille.