Une larme en ta joue, comme goutte de pluie, Du revers de la main, je la suis, te l'essuie ; Tu renifles très fort, à aspirer ton corps, Puis me fais un clin d'œil et, croyant que je m'endors,
Toi tu pleures.
L'angoisse d'avenir, alors je te rassure, Je sais tous tes soucis, les lis en ta figure, Tu surprends mon regard et me dis qu'il est tard, Tu me vois m'assoupir et faisant le lézard,
Lors tu pleures.
Et tu te fais songeuse, instants que tu questionnes, Tu t'insurges rebelle aux instants de maldonnes, Tu dis ça va passer, que tout cela n'est rien, Que tu vas oublier et que ça ira bien,