Marcelle toi qui, de Là-Haut va me lire Tu sais que l’on te pleure et sais qu’on te languit, Combien de souvenirs sur notre beau navire, Combien de nos dictons et combien on a ri !
Tes mots qui faisaient ‘’Vlan’’, résonnent en nous encor, Tant tu étais vivante et si intéressante ; Si tu vas nous manquer, au-delà de la mort, Reste à jamais, en nous, coquette et élégante.
Bien sûr tu étais triste à n’avoir pas d’enfant, Mais savais t’évader en cette vie mondaine Que tu as côtoyée et qui te donnait tant. Et tu n’étais qu’amour et jamais dans la haine,
Marcelle, repose en paix On ne t’oubliera jamais.
Juin 2016
Texte écrit sur les mots d'un ami, Gad, pour une dame de ses connaissances, décédée.