Tu as la rime en fleur, et tu joues la groupie, Ca te va à merveille, et tu vis à l'envie. A l'endroit, à l'envers, tu mets tes cris en vers, Et le gris de l'hiver ne se fait plus pervers.
Marie tu es la femme dont j'envie le mari, Si tu es aussi flamme quand tu en es épris, Tu es cette tornade qui balaie ma ballade, Ballerine des rimes qui offre son aubade.
Amarre à Marie
Mari(e)vaudage
J'ai vu ton air rieur, une mèche de cheveux Qui coulait sur ton front et caressait tes yeux, J'essaie de deviner la couleur de tes cieux, Et j'ai cru deviner qu'au fond ils étaient bleus.
Tu souris à l'envi, j'ai lu tes jeux d'émaux, Diable que tu es taquine, tu es un drôle d'oiseau. On ne doit s'ennuyer au bord de tes ruisseaux, Il doit être interdit de geindre en ton hameau.
Pull rouge qui t'enflamme, braises à vif de brune, Vertes plante en décor, silhouette importune, Médaille d'or à parfaire, comme pierre de lune, Marie qui vous sourit, sirène en sa lagune.
À Marie, Poétesse du Web, de notre Cercle des Poètes