Mon petit Yaron", tu ne savais pas, Quand je suis venu te serrer dans mes bras, Que ton papy Charly, te ferait la surprise, De retour d’Israël, de t’offrir une bise.
A sautiller de joie, que tu étais heureux ! Et me faire la roue à embrumer mes yeux, Tu ne savais comment, en m’offrant tous ces gestes, M’exprimer "Mon Papy, je veux que tu me restes !"
Tu devines Yaron", lorsque tu seras grand, Quand tu liras ces mots, à n’être plus enfant, Combien je t’ai aimé, et combien tu me manques, Quand je suis loin de toi, au gré de mes calanques.
Habiter Israël, mon rêve de toujours, M’a éloigné, je sais, de mes tendres amours ; Enfants, petits enfants, c’est mon unique épreuve Quand au bord de la mer je songe à ma vie neuve.
Écrit le Lundi 6 Février 2012
Quand, allant chercher mon petit fils Yaron à la crèche et comme, heureux de me voir, il sautillait de joie puis à fait la roue ne sachant comment exprimer cette joie
