Monsieur Le Président de République France, Vous que je crois sincère en votre âme et conscience, Faites donc pression plutôt sur l'ennemi, Pas toujours Israël, vous disant notre ami.
N'allez pas, s'il vous plait, vous aussi, pour la gloire, Être encore un de plus à oublier l'Histoire ; Nous avons trop donné sans jamais recevoir, Nos couleurs bleu et blanc ne veulent plus du noir !
Nous donner des leçons ? Depuis des millénaires On veut nous convertir aux idées délétères ! Lorsque vous parlerez en notre Parlement Ne jouez surtout pas à François Mitterrand.
Il sauva Aratfat, le plus grand terroriste Qu'Israël ait connu d'une trop longue liste. Voyez le résultat d'avoir rendu Gaza, Et on voudrait de nous que l'on se suicida ?
Mais comment pouvez-vous laisser votre ministre Employer un langage, à un tel point sinistre, Que l'on regretterait ceux qui l'ont précédé, Avec leur parti pris au cœur du Quai d'Orsay.
"Monsieur le Président, je vous fais cette lettre" "Si vous avez le temps, que vous lirez peut-être" Soyez persuadé que nous voulons la paix, Mais pas avec celui qui nous crie "Je vous hais".