Les uns quittant la France et d'autres la Russie, Ces nouveaux émigrants ont laissé leur pays, Sans avoir attendu qu'arrive le Messie, Certains bientôt soldats, à porter le treillis.
Il fallait être là, les voir en leur sourire Agiter les drapeaux, bleu et blanc d'Israël, Nous à les accueillir et venus pour leur dire Qu'ici coule pour nous et le lait et le miel.
Et, quand le Grand Rabbin a béni l'assemblée, Puis a rompu le pain pour la bénédiction, Nous n'étions qu'un seul cœur en Terre Retrouvée, Ensemble à se sentir les "Enfants de Sion".
Mon D-ieu fasse qu'enfin, réunissant Ton Peuple, Règne sur nous la paix, promise de tous temps, Que les socs de charrues rendent la glèbe meuble Et qu'on n'entende plus que des millions de chants.
5 Mai 2008
Texte écrit au cours de la cérémonie d'arrivée de 400 nouveaux immigrants, en cette journée de l'Alyah, à l'occasion des 60 ans de l'État d'Israël