Ouvert ton éventail, comme une queue de paon, Couvre à peine ton corps et il me fait offrande De l’un de tes seins nus, me rendant polisson A vouloir le goûter de ma bouche gourmande.
Tes jambes repliées protégeant ton pubis Et ta tête baissée comme à être timide, Me font les désirer ton antre et clitoris, Et je te veux torride indécente Mathilde.
Et tu aimes savoir que j’ai envie de toi, Tes lèvres et tes seins, tes cuisses entr’ouvertes, Tu t’avoues toute humide et ton corps en émoi, Tu caresses ton sexe et ses lèvres offertes.