Louange à Toi Mon D., comme s'éteint la braise, Tu as créé la nuit, Tu en as fait cadeau, Que l'âme se repose et que le corps s'apaise, Pour qu'au réveil ils aient un autre renouveau.
Qui donc pourrait survivre, en plus de la fatigue, À sans cesse penser, parler sans nul arrêt... À tout Tu as dit "Fin", un peu comme une digue Calme le flot des eaux et c’est là Ton Secret.