S’égrènent les années et s’écoulent les heures, Nombreux passent leur temps pour des riens, pour des leurres Ou dans leur inertie s’installent dans l’ennui Quand parfois on en meurt, pour un non, pour un oui.
Mon D. fais qu’à jamais mon temps je le remplisse D’écrits, d’actes et pensées, que jamais ne soit lisse Un seul de mes instants mais, marqués de Ton Sceau, Qu’en source de Jouvence ils me soient renouveau.