Accro de cigarette, en son corps et sa tête On peut lui dire mots qui pourraient être beaux Elle se fout de tout et cherche, c'en est bête, Ce paquet qui me vole la muse et ses joyaux.
Je veux qu'elle m'inspire, la voilà qui respire Ces fumées de noirceur à entraver son cœur ; L'élan qu'elle sait mettre à avoir su écrire, Je l'aurais préféré à ce feu où l'on meurt.
Elle est comment vous dire, âme si naturelle Que j'aime la garder comme une éternité, À quoi sert de s'aimer quand on est infidèle, Il vaut mieux se trouver en moments d'amitié.
Et la voilà qui rit à gorge déployée Quand je lui dis : allez fais s'envoler mes mots, Elle dit : je suis sage, alors que, dévoyée, Elle est la déraison et nous sommes échos.
Et si vous pouviez lire un instant ses offrandes Érotiques textos en ses échanges fous, Vous chercheriez aussi ses lèvres si gourmandes Sans doute vous aussi vous mettriez à genoux.
À Claudine venue me dire au revoir (voir le texte : Et Claudine rêvait)