Apprendre qu’il n’a rien, une vraie délivrance ! Mon D. comment t’offrir, à ne plus être inquiet, Mille remerciements, et qu’ils soient abondance, Toi qui m’a écouté, à T’avoir supplié.
Le scanner le scannait et moi par la pensée, N’étant auprès de lui, je lui tenais la main, De loin je lui parlais, une idée insensée, Mais les âmes se lient quand T’implore un humain.
(Pour mon petit fils Yaron, D. merci, il n’a rien)