Qui de nous n’a jamais éprouvé quelques peines, Une angoisse, une peur, le deuil d’un être cher… Nul ne devine alors ce qui coule en nos veines Car l’on se sent tout seul en son âme et sa chair.
Quand tout semble perdu, c’est à Toi qu’on s’adresse, On se tourne vers Toi pour sortir de sa nuit, Tu donnes et Tu reprends la peine ou l’allégresse, Mais, pour nous consoler, Tu as créé l’oubli.