Dans la peine Mon D., c’est à toi qu’on s’adresse Comme un enfant perdu qui, ouvrant grands ses yeux, Regarde père et mère et cherche leur tendresse Pour être rassuré jusqu’aux confins des Cieux.
C’est vers Toi qu’hésitants on ose nos prières ; Vas-Tu nous écouter, on ne sait où Tu es, Très loin ou à côté, ou en ce Mur de pierres ? Reviens-nous comme avant, comme au temps de Moché.